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    Le Chemin de Dieu, d’un cancer à une nouvelle vie

     

    Je m'appelle Céline, j'ai 29 ans ; j'ai 5 formidables enfants et un bon mari grâce à Dieu. Mais tout n'a pas été toujours rose dans ma vie.

    Quand on a le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie, on se croit invincible, à l'abri de tout. On pense pouvoir tout diriger, mener sa vie comme un bon chrétien. On passe notre temps à louer Dieu et à le remercier. Lorsque tout va bien, ce n'est pas très compliqué. Mais même en tant que chrétien, peut-on tout accepter avec le sourire ? On le devrait pourtant.

    En mars 2006, mon époux était parti en Côte d'Ivoire pour une durée de 4 mois pour son travail, j'ai donc profité de ce temps d'absence pour rendre visite à ma famille dans la région parisienne. J'ai décidé lors de ces vacances au mois d'avril de faire un bilan de santé complet (ophtalmologiste, dentiste…). Lors de ma visite chez le gynécologue, j'ai dû effectuer un frottis de contrôle. Quelques semaines plus tard, j'apprends que le résultat est « anormal ». Des examens supplémentaires s'imposaient (biopsie, colposcopie…). Résultat : cancer du col de l'utérus.

    A l'annonce de cette nouvelle, je me suis effondrée. Pourquoi Seigneur ? J'ai une vie saine et je fais ta volonté. Une intervention chirurgicale s'imposait. Il a fallu annoncer la nouvelle à mon mari qui était à des milliers de kilomètres de moi. Il a été rapatrié le 18 juin 2006 pour être présent à mes côtés.

    Les médecins m'avaient prescrit une pilule contraceptive afin que je n'aie pas de saignements lors de l'opération qui devait se dérouler le 26 juin 2006. Le gynécologue m'a ensuite expliqué qu'il serait difficile voir impossible pour moi de porter un enfant à son terme si je devais tomber enceinte. J'étais perdue et je me laissais porter par les évènements sans savoir pourquoi cela m'arrivait. C'est bizarre comme on cherche toujours des raisons à nos problèmes.

    Après mon intervention, j'ai été sous traitement durant quelques semaines. Mais je me sentais toujours mal avec de violentes douleurs. Après avoir changée de traitement plusieurs fois, mon état ne s'était toujours pas amélioré. Un jour, lorsque mon mari travaillait et que les enfants étaient chez leurs grands-parents, j'ai été invitée par mon Pasteur et sa femme. Les douleurs étaient revenues alors que je partageais le repas avec eux. C'est alors que mon Pasteur Arnaud, m'emmena d'urgence à l'hôpital. Après des examens et une échographie, je vois à l'écran un petit être. J'étais enceinte depuis environ 16 semaines (début de grossesse le 20 juin 2006 ; j'étais donc enceinte lors de l'opération).

    Mais comment est ce possible ? Je m'effondre. Comment vais-je le dire à mon mari ? En l'annonçant à mon Pasteur, il semble fou de joie ; il l'était certainement plus que moi. J'avais déjà 4 enfants dont le dernier avait à peine un an. Et puis, la maladie…j'avais aussi prévue de reprendre mes études. Bref, j'avais plein de projets, et tout était chamboulé. Et tout ça pour un enfant que je ne désirai pas et que je n'étais même pas sûre de pouvoir garder. Et qui me garantissait qu'il serait en bonne santé avec tous ces médicaments ? Mon mari lui, était beaucoup plus ravi. Il a juste dit : « Il va falloir que l'on change de voiture ».

    Je m'en voulais de ces mauvais sentiments. Après tout, je priais pour que Dieu me guérisse et non pas pour avoir un bébé. Mais Dieu n'a-t-il pas le droit de m'offrir ce cadeau ? Ce formidable cadeau.
    Plus le temps passait et plus je m'attachais à cet enfant qui était issu d'un miracle. La première fois que je l'ai senti bouger, j'ai oublié tous mes soucis. Je l'ai aimé tout simplement comme j'aime mes autres enfants. Le Seigneur a aussi permis que je continue mes études durant ma grossesse, soutenue par ma famille et mon église. Et le 12 mars 2007 est né Malcolm, qui signifie « faiseur de miracles ». Car c'est un vrai miracle de Dieu. Et comme un miracle ne vient pas sans un autre, aujourd'hui je suis guérie du cancer. Ce sont les anticorps du bébé que j'ai développé durant ma grossesse qui ont facilités ma guérison.

    Grâce à Dieu j'ai appris l'acceptation (accepter ce qu'il nous donne sans condition) et le renoncement (renoncer à nos propres projets pour suivre la volonté de Dieu).
    Aujourd'hui, je le loue et je le remercie pour tous ses bienfaits. L'homme cherche toujours des raisons à ce qui lui arrive, mais c'est manquer de foi que de ne pas accepter ce qui nous arrive. Dieu sait tout au-delà de nos espérances. Remercions le car il a posé son regard sur nous. Faisons lui confiance.

     
    Céline
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     Bon weekend et bonne semaine

     

     

    Ma vie, c’était la rue

     

    Je m'appelle Mathias Raymond. Je suis né en Haïti en 1980.

    À l’âge de 4 ans, je suis parti rejoindre mes parents en Guyane ; c’est à partir de là que ma vie a commencé avec ses mensonges, ses péchés et ses problèmes. Mes parents, surtout ma mère, ont toujours fréquenté l’église mais sans pour autant devenir chrétiens. Ce n’est qu’en 1992 que ma mère, mon frère aîné et ma sœur ont accepté Jésus. 
    À partir de ce moment-là, j’ai moi aussi commencé à fréquenter l’église. Mais c’était par obligation à cause de ma mère. Tout ceci ne m’emballait pas du tout. Ça dérangeait mes plans, car j’avais honte de passer à côté de mes copains avec ma Bible, mon costard-cravate et mes chaussures bien cirées, la grande classe quoi. Mais surtout j’avais honte de leur montrer que j’étais avec Dieu. 
    Avant de le connaître, je menais ma petite vie avec eux dans la rue, moi. Notre devise : « à la vie à la mort » nous imposait le silence. Mensonge, vol, drogue… étaient notre lot quotidien. La rue c’était la meilleure chose pour moi. Au fur et à mesure que le temps passait, je suis devenu un être ignoble et sans but.

    Mais, un jour, la rue m’a enlevé mes amis, un en particulier lors d’une guerre de cité. On était parti en expédition punitive ce qui montre le niveau de violence que l’on avait atteint. Il n’y avait plus de retour en arrière possible pour moi. C’était le grand pas avant le gouffre sans fin. Dans cette expédition punitive, mon meilleur copain a laissé la vie ; et moi, j’étais en vie. 
    Après cet événement, ma vie n’a plus été la même. J’ai été un certain temps sous le choc de la mort de cet ami. Cette période a été propice à Dieu. Je sentais qu’il commençait à me consoler, qu’il changeait mon cœur et, au bout de deux semaines, je l’ai accepté dans ma vie.

    J’ai compris une chose : je faisais partie de son plan et c’est la raison pour laquelle j’étais passé par cette épreuve. J’étais fier de lui confier mon destin pour devenir un instrument entre ses mains.

    J’espère que mon expérience servira à de nombreux autres jeunes. Je veux leur faire savoir que si Dieu a arraché quelqu’un comme moi à la mort, il peut le faire pour n’importe qui d’autre à condition de le vouloir vraiment.

    Que Dieu vous bénisse.

    http://www.lueur.org

     


     

    U

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    Une vie transformée

    Une vie transformée

    Par l'amour de Jésus Christ

     

    message d’évangélisation avec le pasteur Rémi Davieaud

    le dimanche 14 février 2016

    un message qui montre à quel point Dieu est Amour,qu'il y a toujours de l'espoir avec lui,

    que même descendu très bas ,il peut te délivrer et changer ta vie.

    Oui qui que tu soit,viens à Jésus,il t'aime et te pardonne

    Viens à lui,confesse ton péché et abandonne le,c'est lui qui t'aidera

    Viens à lui,avec sincérité

    Sois béni(e).

     

     

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     Une relation vivante

     Une relation vivante 

    le témoignage de Thierry

    Vidéo reçue en « prime time » non encore diffusée …..

    L’énoncé est tellement clair et précis que j’en avais oublié de demander au préalable l’autorisation de le mettre sur le blog !
    Cela a donné pour résultat une petite jonglerie entre les mails et les commentaires …

    Soyez encouragés et fortifiés!

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     la 2ème vie du vase brisé

    Témoignage de Sam, pasteur indien de l'inde,

     

    Un encouragement a ne pas baisser les bras, même si tout va mal,

    car Dieu est là avec sa solution et son amour.

     

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