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    J’entends à nouveau

     

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    De mon souvenir, enfant

     

    De mon souvenir, enfant

    De mon souvenir, enfant je suis toujours allée à l’église catholique. J’ai été enseignée au primaire  et une partie de mon secondaire avec l’enseignement religieux catholique. Ma mère priait avec moi tous les soirs. On ne priait pas la vierge Marie et on ne parlait pas aux saints. Je parlais au petit Jésus dans mes mots à moi. Je le voyais toujours petit, comme moi, et ça me le rendait sympathique. Mais si je ne me trompe pas, maman, elle disait Jésus tout simplement. J’ai reçu le sacrement du baptême (bébé), celui de la communion, du pardon et celui de la confirmation.

    Je vais vous expliquer comment moi j’ai vécu ma foi catholique, je vais vous dire aussi pourquoi et quand j’ai arrêté d’aller à l’église catholique et comment je suis allée à une église pentecôtiste ainsi que mes constats des différences.

    À l’église catholique tout est très cérémoniel je dirais. Les phrases que l’on doit répondre se disent par cœur à des moments précis pendant la cérémonie. Tellement que lorsque je vais à l’église pour un mariage ou des funérailles, je suis encore capable de les réciter après plus de 20 ans d’arrêt de ce régime. Les homélies (prêches) et les textes, surtout tirés des 4 évangiles, étaient tous contenus dans un petit livre appelé « Prions en église ». Un moment donné, j’ai remarqué que ceux-ci revenaient d’année en année. En fait, j’emmenais presque toujours le Prions à la maison pour le relire. Il y avait de belles pensées dedans. Dans ces années-là, il n’était pas interdit de lire la bible. Une connaissance de 60 ans m’a confirmé le tout hier. Lui aussi avait reçu un Nouveau Testament. Il fréquentait les catholiques charismatiques qui se réunissaient en semaine il y a de cela 30 ans. Moi aussi j’avais un Nouveau Testament. J’ai commencé à m’y intéresser à l’adolescence.

    En fait, après avoir parlé à ma mère pour valider ce que j’allais vous raconter, elle m’a dit que j’ai demandé d’arrêter d’aller à l’église à ma sixième année ou au secondaire un environ.  Comme je disais plus tôt, j’avais constaté que ça revenait toujours au même puis en plus j’étais tannée de faire « Assis, debout, à genoux, debout, assis » juste pour faire comme les autres. Je suis donc restée à la maison avec mon père pour écouter le hockey le samedi soir, à la place.

    J’aimais Dieu pareil. Je fouillais pour des livres dans la bibliothèque à ma mère. Je lisais le Nouveau Testament. J’avais même un livre emprunté à la bibliothèque sur les Psaumes et chacun d’eux était expliqué. Après l’avoir emprunté le maximum de temps que je pouvais, je l’ai déclaré perdu et puis je l’ai payé tellement je ne voulais pas m’en départir. (Ce n’est pas un modèle à suivre.)

    Je n’allais plus à l’église mais j’ai quand même participé à deux retraites de fins de semaines avec des jeunes catholiques lors de mon secondaire. Ça s’appelait des flambées. Une expérience vraiment très cool je vous dirais. C’était pour apprendre à mieux se connaitre, à connaître sa famille, les autres puis Dieu et Jésus.  J’en garde un très bon souvenir. J’en ai vécu une pour moi-même et une pour aider les autres autour de moi.

    On dit parfois que le catholicisme ce n’est pas une relation personnelle avec Jésus; que c’est pour soulager la conscience ou pour paraître que les catholiques pratiquent. Je vous dirais que c’est comme dans les églises protestantes. Ce n’est pas tout le monde qui a le même niveau d’engagement.

    Pendant une flambée en tout cas, on nous parle de repentance, on comprend que c’est Jésus qui accorde le pardon et non le prêtre et que c’est personnel entre nous et Dieu, que nous n’avons pas besoin d’intermédiaire, qu’on peut demander pardon chez nous en prière. Cela me ramène au sacrement du pardon. En fait, je me suis confessé qu’une seule fois dans ma vie devant un curé et il ne m’a pas demandé de réciter de prière pour la rémission de mon péché et n’a mis aucune condition bizarre à ce pardon. Il m’a simplement dit : « Jésus te pardonne, va et ne recommence plus ». Je n’ai plus jamais volé de ma vie. J’avais volé une étampe à ma professeure et je l’avais collée sur le carton de mon nom à l’avant du bureau. Elle s’en est rendu compte rapidement et m’a chicanée sévèrement devant tout le monde. Ce n’est pas la réprimande de la maitresse qui m’a encouragée à faire mieux. Je peux vous le dire. Mais ce que le prêtre m’a dit je l’ai retenu par exemple!

    Ce qui m’amène à vous dire que ce ne sont pas tous les prêtres catholiques qui sont plates ou qui suivent tous les dogmes de l’église. C’est un peu comme chez les pasteurs. Les pasteurs n’enseignent pas toutes les mêmes doctrines.

    Donc, au secondaire je n’allais plus à l’église. Bien du moins à l’église catholique. J’avais une amie qui s’est mise à parler de Dieu avec moi. Ça a piqué ma curiosité. Elle ne m’a pas jugée et ne m’a pas expliqué d’emblée pourquoi je devrais faire comme elle et quelles étaient les différences entre sa foi à elle et ma foi à moi. Je pense que si elle l’avait fait, je lui aurais dit qu’elle était à côté de la plaque, car en fait, la différence entre elle et moi était minime. Bien au niveau de la croyance. Elle portait les cheveux longs et des jupes longues et c’est certain qu’elle connaissait sa bible mieux que moi. (elle m’en a d’ailleurs offert une complète, Ancien et Nouveau testament)

    Mais moi je lui ai amené un livre de témoignages que j’avais pris dans la bibliothèque de ma mère, fascinée par ce que j’avais lu. C’était en fait des témoignages de catholiques touchés par Jésus qui a transformé leurs vies. Oui Jésus fait ça même chez les catholiques. Drogues, sexe, travail, argent, casino, etc. Tout y était. C’est ça qui a déclenché ma conversion si je peux dire ça ainsi. J’ai invité Jésus dans ma vie et je lui ai demandé de faire un miracle dans ma vie à moi aussi. Je n’ai plus ce livre malheureusement, car je l’ai prêté à d’autres amies et il ne m’est jamais revenu un moment donné. J’étais pleine de zèle.

    J’avais aussi dans la bibliothèque de ma mère des livres qui expliquaient bien la nouvelle alliance et aussi la puissance de la prière. Le livre « Casier postal à notre cher papa des cieux » en est un autre de témoignages qui encourage les croyants à écrire des prières à Dieu puis les relire pour voir comment Dieu répond étonnamment mieux que ce qu’on lui demande parce qu’il connait tous nos besoins.

    Mon amie et moi avions beaucoup à nous raconter. Un jour elle m’a demandé pourquoi je n’allais pas à l’église. Je lui ai dit que je trouvais ça plate. Elle m’a invitée à la sienne un mercredi soir. J’y suis allée. J’ai aimé ça même si c’était bizarre un peu. Ce n’était pas riche, ça faisait pauvre même, dans le sous-sol d’une église. Il n’y avait pas d’images de Dieu, pas de croix, pas de chemin de croix, pas de statues, pas de bancs d’églises, pas de prêtre en toge blanche. Juste un monsieur avec sa guitare qui racontait des histoires puis qui nous disait qu’on ne pouvait pas mentir à Dieu, qu’on ne pouvait pas se cacher que Dieu voyait nos intentions dans notre cœur et entendait nos pensées. Je l’ai tout de suite trouvé sympathique. Il semblait authentique. Les gens lui parlaient après la rencontre. Il était comme vous et moi. Ce monsieur était beaucoup plus facile d’approche qu’un prêtre. Je ne sentais aucune hiérarchie. Tout le monde me souriait et me serrait la main même s’ils ne me connaissaient pas. Il y avait beaucoup d’amour entre les gens et ça se voyait.

    Oh et pendant les chants nous étions en cercle et tout le monde chantait et plusieurs avec une ou deux mains dans les airs. Mon amie m’a simplement dit que c’est parce que ces personnes offraient les paroles des chants à Dieu en prière. Je voulais y revenir. Ça n’a pas pris tellement de rencontres avant que je lève une main. Mais j’étais gênée, j’avais l’impression que tout le monde me regardait.

    C’est comme ça que ça s’est passé quand je me suis convertie. Mon amie venait me chercher pour les réunions du mercredi et peu de temps après je suis allée le dimanche à l’église avec ma mère. Parfois on allait même au resto avec le pasteur et d’autres membres de l’église. On parlait du sermon et de ce que Dieu avait fait dans notre semaine. Je me disais que ça c’était vraiment spécial que jamais nous aurions fréquenté des catholiques de cette manière-là. J’avais besoin de ça. Ça m’a permis de grandir dans ma foi. Ma mère m’a expliqué que chez les catholiques, il y a aussi ce type d’échanges et de personnes qui se fréquentent par exemple avec les cursillistes puis les chevaliers de Colomb et les filles d’Isabelle qui font des bonnes œuvres dans leur paroisse.

    Je vous dirais qu’au départ je n’ai pas eu de conviction de péché qui faisait que je me sentais séparée de Dieu puis réconciliée ou d’appel particulier sur ma vie. Je considère que j’ai été élevée à cultiver une relation personnelle avec Dieu, malgré mon arrière-plan catholique. J’ai eu la grâce d’approfondir cette relation dans une église pentecôtiste et de recevoir le Saint-Esprit aussi simplement que mon cheminement s’était fait avant. J’ai reçu le Saint-Esprit sans imposition des mains, sans phénomène étrange et sans aucune crainte non plus.

    Je pense même que certains catholiques vivent cette expérience tout en étant dans l’église catholique. Ma grand-mère était une grande femme de foi à mes yeux. Elle priait pour nous tous, elle nous le disait souvent et elle nous parlait aussi de la volonté de Dieu pour la famille. Un soir dans un élan inspiré, alors que moi j’allais à l’église pentecôtiste, et elle à l’église catholique, elle m’a soufflé à l’oreille : « Tu sais que tu vas guérir un jour? » Je lui ai répondu : « Oui et je ne mourrai pas de cette maladie ». Nous nous sommes regardées dans les yeux et je savais que nous nous comprenions.  On sentait le Saint-Esprit présent.

    Mais ma grand-mère était spéciale. C’était la seule de mes 4 grands-parents à penser comme cela et pourtant elle allait à la même église, avec le même curé que les trois autres. Elle avait une relation personnelle avec le Seigneur. Elle croyait dans l’œuvre de la puissance de la résurrection de Jésus et aux promesses de la bible. Je crois qu’elle est sauvée par sa foi.

    Je crois aussi que d’autres catholiques sont sauvés comme elle, mais que malheureusement beaucoup se perdent dans les rites et dans la confiance qu’ils peuvent mettre en un homme. Ils n’ont pas les mêmes opportunités d’enseignements de la Parole que nous et cela leur demande plus d’efforts pour trouver la voie du Royaume de Dieu.

    Parlez-leur, comme mon amie l’a fait, sans trop attirer l’attention sur les différences et échangez le plus possible sur ce que vous avez en commun.

    CONCLUSION :

    Le Seigneur m’avait prédestinée. J’ai été attentive à sa voix qui m’appelait et qui m’attirait à lui toujours davantage.

    Jean 14:20

    En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis en vous.

    14:21

    Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime; et celui qui m’aime sera aimé de mon Père, je l’aimerai, et je me ferai connaître à lui.

    14:22

    Jude, non pas l’Iscariot, lui dit : Seigneur, d’où vient que tu te feras connaître à nous, et non au monde?

    14:23

    Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera; nous viendrons à lui, et nous ferons notre demeure chez lui.

    N’oubliez pas de lire mon témoignage de guérison! Version PDF téléchargeable et imprimable (149 K)

    https://vis4jesus.wordpress.com/2009/08/11/le-chemin-la-verite-et-la-vie/

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    Un médecin athée rencontre Jésus après avoir réalisé que les avortements sont « intolérables », plus...

     

    Dr. Vansen Wong, médecin athée pratiquant les avortements, avaient l’habitude de penser que l’avortement aide les femmes et leur donne la possibilité de choisir la vie qu’elles désirent pour elles-mêmes. Il avait d’ailleurs choisi cette pratique de la médecine pour apporter un regard bienveillant et dépourvu de jugement aux femmes faisant le choix d’avorter.

    Docteur Wong était convaincu d’aider les femmes, en particulier les victimes de viols et celles dont la vie est menacée par leur grossesse. Il commença toutefois à revoir ses positions lorsqu’il comprit que de plus en plus de femmes avaient recours à des « avortements de confort ».

    Il raconte par exemple le cas d’une dame, qui avait avorté pour ne pas avoir à reporter son voyage en Europe.

    Fatigué de pratiquer des avortements, Vansen Wong commence à requestionner ses pratiques. Evoquant le tube transparent utilisé pour aspirer le foetus lors d’un avortement, il déclare aujourd’hui :

    « Il ressemble à un dispositif assez inoffensif… Il est flexible et de la taille d’une grande paille, mais il est responsable de la mort de millions d’enfants à naître. »

    Après avoir eu recours à cette technique durant 7 ans, le médecin a finalement été pris d’un violent sentiment de culpabilité et de misère, qui l’a conduit dans une église. Dans cette église, il a découvert le message de l’Evangile et reçu l’amour et le pardon de Dieu.

    « Chaque personne est créée à l’image de Dieu. »

    Vansen Wong a finalement abandonné son poste. Il est désormais directeur médical du Centre de grossesses Alternatives à Sacramento.

    Chaque fois qu’il le peut, Wong dit aux personnes qu’il rencontre que l’avortement est «barbare» et «intolérable» et qu’il «n’a pas sa place dans une société civilisée. »

    Il espère que les générations futures aideront à freiner la pratique de l’avortement.

    La rédaction

    Source : Christian Today

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    Les Juifs et les arabe peuvent parfaitement s’unir en Jésus!

    Les Juifs et les arabe peuvent parfaitement s’unir en Jésus!

     

    Source : Vietv.org

     

     

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